Parce qu’il n’y a que ceux qui font des choses qui subissent les critiques.
Vous avez sûrement déjà été critiqué dans le cadre de votre travail pour une erreur commise. Ou même parce que vous avez un blog perso avec des fautes, ou encore parce que vous avez fait un dessin avec une erreur de perspective, etc. Les exemples sont nombreux…
Celui qui décide de faire quelque chose, de produire quelque chose s’expose au risque que celui qui ne le fait pas mais le regarde, le touche, le lit, le goûte, etc. le critique…
Et surtout, comment l’autre a-t-il formulé sa critique ? Agressivement ? Ou bien était-ce constructif ? Evidemment ça change tout, même si ça blesse toujours un peu à divers degrés.
Au final, on se dit : « j’aurais mieux fait de ne rien faire ». Ou bien : « je ne suis pas assez doué pour bien le faire, donc je devrais arrêter ». Est-ce que celui qui m’a critiqué sur cette erreur aurait fait cette chose parfaitement ? N’aurait-il pas potentiellement pu faire une autre erreur que je n’ai pas commise ?
Que faut-il faire pour mieux vivre ce genre de choses ? Certains prônent le je-m’en-foutisme comme le livre L’art subtil de s’en f*utre de Mark Manson, une sorte de mega philosophie zen. Mais comment adhérer au fait de se f*utre de tout. Ce n’est juste pas possible.
Chercher à s’améliorer toujours et prendre toutes les critiques comme positives est peut-être la solution. Se foutre d’une chose : les rageux, les mal polis, les râleurs, etc. Et se concentrer sur le fait de s’améliorer soi.
Ok, ils ont remarqué cette erreur, ce truc aurait pu être mieux fait, c’était pas parfait et ils ont raison. Peu importe la manière dont ils l’ont dit. Moi ça me sert à avancer, à évoluer dans mon travail, mon art, ma passion, peu importe.
C’est moi que ça enrichit.